Couverture citoyenne

Cet espace est celui où les images illustrent notre lutte.  Il est disponible pour accueillir les photos et vidéos que vous prenez lors d'événements auxquels vous assistés ou que vous trouvez pertinentes à transmettre pour faire avancer le débat.  Envoyez-nous vos images par notre courriel et on les publiera sur cette page.

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Texte d'opinion d'une étudiante du CVM
**Le texte a été publié tel quel, nous nous excusons des fautes de français.

La hausse touche la classe moyenne autant les pauvres et les handicapés

Chez les handicapés ces personnes ne sont pas faites pour faire plusieurs choses en même temps, car pour eux faire des devoirs ça leur prend le double de temps que ceux qui ne sont pas handicapés. Exemple un devoir qui prend 4 h chez les personnes non handicaper = 8 h de devoir pour ceux qui le sont handicapés.
Donc ce qui vaut il est impossible pour eux travailler en même temps, car le travail causerait des retards sur leur devoir a remettre a leurs professeurs.
Mais avec cette hausse il serait presque impossible pour tout monde (surtout classe moyenne et pauvre) autant au handicapé étudier en même de travailler.



Pi si avec la hausse si laide financière aux études ou autre service n'augmentent pas le montent suffisant pour les étudiants à payer leurs études, les handicaper et la classe moyenne risque avoir moins accès aller a l'université. Ça créerait l'injustice il aurait surtout que les riches qui aura plus facilement accès a l’université. C'est comme si Charest nous disait travailler plus si vous voulez aller à l'université.



Le problème au programme des prêts et bourses est même si ont a 18 ans et plus,le gouvernement du Québec nous traite comme des enfants, car il donne des prêts avec selon les revenus de nos parents. Et même si les étudiants habitent même pu cher leur parent , demande pareil a l'étudiant le revenu de ses parents ,ce qui est complètement ridicule. De plus, les prêts nous font beaucoup endetter.

Ce qui est inquiétant de notre gouvernement, c'est avec l'argent des étudiants, il va s'en servir des choses douteuses exemples : plan nord, les grosses entreprises, ses sortie et voyage luxueux, etc.



Ce qui est ridicule c'est Charest, il refuse la majorité des propositions étudiantes depuis début la grève. Il préfère de payer les entreprises en leur donnant des gros montant alors qui refuse de payer pour l'éducation. Pourtant l'éducation et la santé sont les 2 choses les plus importantes à la vie.



L'éducation ne devrait pas en réalité être du marketing elle devrait être plutôt gratuit comme les soins santés.

Étudiante au Vieux Montréal



Action « d'obéissance civile» des Profs contre la hausse



Durant la matinée du 16 avril, les voiles ont été dressées


La petite histoire du Cégep du Vieux-Montréal en ce 16 avril 2012....

Toute l'histoire commence tout de suite après l'assemblée de GGI, une semaine avant le vote secret tenu sur 4 jours, au CVM... L'admin, sans aucune négociation avec l'Association générale étudiante du cégep du vieux montréal (AGECVM), envoie un courriel aux étudiantEs, disant que malgré les mendats votés lors de l'AG par la majorité des étudiantEs, ils ne laisseraient aucun local disponible durant toute la durée de la grève et qu'ils mettraient le cégep en "lock out". Le principe d'un lock out est que personne (PERSONNE) ne peut entrer dans le cégep, durant cette grève. Or, il y a 5 jours, un informateur a dit à l'AGECVM que le DG du cégep rentrerait le 16 avril, pour d'obscures raisons (un retour forcé?)...

Or, lock out oblige, il n'en aurait pas le droit. Pour faire respecter ce lock out en règle de l'admin, l'AGECVM en a appelé aux étudiantEs de faire une ligne de piquetage, ce matin. J'y étais dès 6h50 ce matin.

Nous avons piqueté quelques heures, avec des amis, à la porte du 6e étage. Des responsables de L'AGECVM sont venus nous voir, nous disant que la police arrivait et que le DG avait réussi a entrer... Nous nous dirigeons donc vers la porte principale du Vieux... Il y avait précisément 19 chars de police et 5 motos, ce qui fait, au total 43 policiers... Pour environs 100 étudiantEs... donc près d'un policier-ère par étudiant-e/manifestant-e... et d'autres polices et policières venaient "en renfort". On nous a informé qu'en premier lieu, ils venaient pour faire des arrestations concernant le grabuge au bureau de la ministre Beauchamp. La centaine d'étudiantEs étaient alors assis, en train de jaser sur la terrasse du Vieux, et je jouais avec des amiEs une passionnante partie de Munchkin!

C'est à 11h10 qu'une Énième voiture de police arrive, avec des hauts-parleurs. Nous entendons alors un représentant du (S)SPVM (voyez le jeu de mot) nous dire que nous avons un avis d’éviction demandé par l'administration et que nous avons 10 minutes pour quitter la terrasse du CVM, sous menace d'arrestations de masse et l'anti-émeute. Si nous allons dans la rue, la manifestation sera déclarée illégale, donc nous subirions des arrestations de masse, et l'anti-émeute. Finalement, si nous bloquons le trottoir, nous serons en train de bloquer l'accès au cégep, tout en empêchant la police de faire son travail, donc nous subirons quoi? Eh ouais, une vague d'arrestation massive et l'anti-émeute... POUR UNE MANIF PACIFIQUE!

En toute hâte, nous sommes donc repartis pour faire une courte assemblée de grévistes à l'Agora de l'UQAM (endroit assez normal, pour une AG de grève, ces temps-ci). Quelques boeufs/vaches ont trouvés que faire une assemblée pacifique à un endroit légal après s'être en allé après un avis d’éviction était illégal: Ils sont donc entrés à l'UQAM, ont poivrés des gens et ont fait des arrestations sans motif, tout en poivrant plusieurs personnes... J'ai réussi à m'enfuir, c'est pourquoi je peux vous raconter cette belle histoire de répression...

Voilà... Je voulais juste vous montrer une fois de plus la force des admin, la répression de notre système, et l'intimidation faite sur le mouvement étudiant, encore fort, alors que Beauchamp dit condamner l'intimidation, et nous dit qu'elle n'y pliera pas.. Moi non plus Line, Moi non plus....



-Steeve


''Quand l'injustice devient loi, la résistance est un devoir''

Les QuébécoisEs sont présentement engourdis par une force d'inertie incroyable. Leur potentiel d'indignation semble englouti par la galère du quotidien et la philosophie de la docilité véhiculée par les élites possédantes.

Au lieu de souligner la détermination des étudiantEs qui se battent depuis plus de cinquante jours contre l'arrogance du gouvernement, certains envahissent les tribunes pour critiquer les ponts bloqués, les actions de perturbation directe comme les blocages ou les occupations, les manifestations qui paralysent la circulation et l'obstination des jeunes à refuser une hausse qui est, comme le martèle Line Beauchamp, ''responsable.''

Cette hausse parfaitement irresponsable, qui bloque l'accès aux études supérieures, encourage l'endettement qui profite aux banques (ressorties gagnantes et presque indemnes d'une crise économique qui a affecté des milliers de gens, rappelons-nous en), participe d'une marchandisation éhontée d'un bien collectif, encourage la transformation des maigres acquis sociaux que nous possédons en institutions qui répondent à une logique d'utilisateur-payeur, inscrit l'éducation dans un système capitaliste sauvage qui met la connaissance au service de la rentabilité et participe à augmenter un écart entre riches et pauvres déjà excessif, n'est aucunement défendable.

Nous sommes pourtant bien peu à prendre la rue face à un tel affront. C'est que personne ne songe plus à s'indigner. Si le confort de chacunE peut être le moindrement épargné, à quoi bon se lever? Notre système politique et économique est dangereusement anti-démocratique et il n'entend pas se plier aux bien silencieuses critiques venant de la population qui en subit les foudres. Il faut agir si nous voulons changer quelque chose.

Longtemps, nous avons été conscients de la corruption dans l'industrie de la construction sans jamais revendiquer plus qu'une commission d'enquête. Nous savons que nos ressources sont exploitées par des compagnies qui payent de risibles redevances, que l'industrie des gaz de schistes est un projet désastreux pour la protection de l'environnement et des populations, que la hausse des frais de scolarité, la taxe-santé et d'autres mesures parfaitement antisociales gangrènent notre système, que des recteurs-rices, PDG et autres amiEs du gouvernement bénéficient de primes, de cadeaux et de salaires faramineux pendant que certainEs ont de la difficulté à garder la tête hors de l'eau, que les politiques néolibérales actuelles contribuent à maintenir un système d'oppression ici comme ailleurs parce qu'elles valorisent la recherche de profit et la rentabilité au détriment de valeurs de solidarité sociale humaines et intelligentes.

Pourtant, ceux et celles qui se sont levés ont été marginaliséEs, critiquéÉs sur plusieurs tribunes et souvent répriméEs par l'appareil d'état qu'est la police. Il est évident que les élites protégées par le système actuel chercheront à museler l'opposition, appelleront à la soumission, exigeront des populations qu'elles soient ''responsables'', qu'elles ''comprennent'' que des hommes et des femmes plus grands qu'eux ont su choisir à leur place.

Si certainEs se sentent incapables de s'indigner contre l'injustice, si certainEs se sentent incapables de se lever contre ce qui les indigne, qu'au moins ils accordent à ceux et celles qui le font le respect qu'ils et elles méritent.

J'ai l'impression qu'une longue réflexion devrait s'entamer dans la société, que nous devrions trouver ce en quoi nous croyons vraiment et surtout, réfléchir ensemble aux moyens qu'il nous reste pour le défendre.






Les écrivains contre la hausse en 120 caractères





Les médias c'est de la «marde»!

Depuis le début de la grève qui a commencé il y a maintenant plus de 5 semaines, une
certaine frange du mouvement étudiant ne cesse de nous rappeler l'importance de la
présence dans les médias, de la visibilité auprès de la population. Bien que je n'aille rien
contre une population informée des enjeux du mouvement actuel, j'ai de sérieux doutes sur
l’efficacité des médias de masse à accomplir cette tâche d'une façon à «aider» la cause. En
fait, je le dis et je le répète: les médias n'ont pas intérêt à aider la cause.

Mais de quelle «cause» parle-on? La question n'est pas anodine. On pense connaître
l'essentiel des revendications du dit mouvement et surtout les comprendre, mais la réalité est
toute autre. Il est important de comprendre que les intérêts parmi tou-te-s les acteurs et
actrices du mouvement étudiant divergent. Non seulement les intérêts personnels entrent en
ligne de compte, mais les visions politiques sont différentes et emmènent parfois à des
visions politiques tout à fait opposées. Une des visions qui fais beaucoup de controverse
dans le mouvement étudiant, c'est celle prônant les méthodes d'action de type perturbatrice.
Les médias, pour leur part, essayent généralement de faire passer cette opinion comme
nuisible pour la «cause».

Selon moi, notre cause à nous est bien plus qu'un vain appui de la population, des
statistiques ou des marches se finissant dans un endroit aussi économiquement insignifiant
que le Vieux-Port de Montréal. Nous avons un projet de société à construire et nous devons
prendre tous les moyens afin de gagner contre nos ennemis, ces élites économiques et
politiques qui aurait tout à perdre à nous laisser obtenir ce qu'on demande. Le fait de passer
à l'action de manière plus agressive peut paraître repoussant, c'est pour cela qu'il est
important de se débarrasser de certain préjugés.

Il est difficile de défendre la légitimité des actions de perturbations. Tout d'abord, pour
certaines personnes, elles ne paraissent pas éthiques, elles font même peur. Cette peur est
normale puisqu'il est rare de voir des actions de perturbations dans la vie de tout les jours,
elles sont souvent inconnues et nous surprennent. De plus, comme elles sont secrètes, les
gens n'ont pas eu l'occasion d'y réfléchir collectivement, de s'en parler au préalable. Il faut
comprendre que le fait de garder une action secrète n'est pas une partie de plaisir qui amuse
ses organisatrices et organisateurs. L'aspect secret n'a pas pour but de bâillonner la
démocratie. Ça serait beau si on pouvait rendre l'organisation des actions de perturbation
publiques, mais c'est impossible. Comme pour le trajet d'une manifestation, la nature des
actions de perturbations doit rester secrète pour une seule raison: car sinon elle n'auraient
pas lieu. L’état, à l'aide des forces policières, fait déjà tout pour empêcher le mouvement de
réaliser de telles actions. Il recherche également activement les personnes prônant de telles
idées pour leur faire peur et les dissuader de continuer.

C'est d'ailleurs cet aspect secret qui rends aussi les actions en question difficiles à défendre.
Elles deviennent impersonnelles car on ne connaît jamais les personnes qui les
revendiquent. Derrière chaque action organisée, il y a pourtant une profonde réflexion réalisé.
On ne fais pas de la «casse» de manière désinvolte. Il y a une initiative motivée par un grand
désir de changement et une profonde réflexion sur tout l'impact de l'acte qui se fait, mais se
sont de nombreuses discussions qui se font à l'abri de la sphère publique. Derrière leur
apparence impersonnelle, chaque action est personnelle et motivée par cette initiative que
chaque militant-e possède. Il faut prendre soin de respecter les décisions prises par ces
individus et comprendre que leur motivations peuvent être multiples.

Pour ma part, l'occasion présentée par la grève est une occasion de «foutre la marde» dans
le système sous toutes ses formes. Tout en respectant un minimum la vie privée des gens, je
pense qu'il faut les déstabiliser de leur confort habituel. Que ce soit un travailleur qui traverse
le pont au volant de sa honda le matin ou encore un grand financier du haut de sa tour à
bureau, tout le monde doit voir son quotidien un tant soit peu chamboulé. Brûlons des chars
pour que personne ne nous ignore! À la manifestation du 15 mars dernier, les médias nous
présentaient des voitures de police renversées. Certes, cela est criminel et potentiellement
dangereux, mais légitime. Rappelons nous que déjà au début de la grève, la ville faisait
pression sur le gouvernement pour satisfaire les demandes étudiantes afin que les
manifestations cessent, lesquelles coutaient trop cher en service de police.

Il faut donc se prémunir contre les mensonges répandus dans les médias. D'apparence
neutre ou encore même appuyant la «cause», les médias ont un agenda bien particulier.
De Stéphane Laporte qui nous présente comme des enfants de maternelle à Patrick Lagacé
qui prône un compromis entre les étudiant-e-s et la ministre tout en dénonçant les actions
dites dérangeantes, tout un tas de journalistes ont leur mot à dire sur la grève. Toutes ces
opinions reviennent essentiellement à dire une chose: on comprends votre cause, mais vous
ne la défendez pas de la bonne façon, vous allez trop loin, vous devriez vous calmer. J'ai des
petites nouvelles pour vous: Non, on ne se calmera pas. Ce n'est ni à Gesca Powercorp ni à
Quebecor de nous dire comment lutter et nous continuerons à bloquer l'économie de leur
pauvre république de banane dont ils commencent peu à peu à perdre le contrôle.

Si j'ai un conseil à donner à tout-e-s celles et ceux qui luttent pour un avenir meilleur: Lorsque
la ministre fera une offre prochainement, s'il vous plaît, utilisez votre propre jugement pour
déterminer si elle mérite qu'on arrête de se battre. Ne laissez pas les médias vous dire quand
arrêter la grève. Ne laissez pas l'opinion publique guider la votre. Notre cause est légitime.
Nous n'avons pas de compromis à accepter. Nous ne nous battons pas simplement contre le
fait de contribuer(sic) d'avantage à nos études, nous aspirons à une société plus juste. Nous
nous battons contre une gigantesque machine qui veux transformer chaque aspect de notre
vie en marchandise. Nous comprenons que c'est notre vie et notre avenir qui en dépends.
Nous croyons en nos idées et si certain-e-s ne sont pas d'accord avec nous, c'est leur droit,
mais ayons obligeance de leur dire qu'ils et elles sont dans le champ.

-Steve

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Photos de la manifestation nationale du 22 mars dernier.
Jérémie Dubé-Lavigne ©












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RÉACTION AU MESSAGE DE LA DIRECTION DU CVM (14 mars)

Message à la Direction des communications et des affaires corporatives
Cégep du Vieux Montréal

Suite au message reçu de la part de la direction du Cégep du Vieux Montréal, je vous écris pour vous partager ma déception par rapport au propos que vous tenez dans cette lettre franchement révoltante. Mon message sera court et bref. J’écris ces quelques mots au nom de milliers d’étudiants de votre établissement qui se sentent pris à la gorge suite à vos menaces d’annuler la session. C’est honteux de voir jusqu’à quelles bassesses vous êtes prêts à aller pour influencer le vote des étudiants qu’ils soient pour ou contre la grève. En fait, au cas où vous l’auriez oublié, nous sommes ici pour débattre de quelque chose de bien plus important qu’une simple grève étudiante. Nous débattons de l’accessibilité aux études supérieures pour tous et toutes. Il est encore tôt pour brandir la menace de l’annulation de la session. Il est déplorable que vous ayez omis d’écrire dans votre lettre qu’il est possible de prendre des arrangements avec les enseignants et qu’il ne sera sûrement pas nécessaire de reprendre tous les cours manqués comme cela s’est produit lors de la grève de 2005. La session n’aurait été allongée que de deux semaines pour reprendre au total cinq semaines de grève. Bien sûr, il ne serait pas à votre avantage de le mentionner. Je trouve malhonnête ce message qui représente très bien votre prise de position qui est celle du gouvernement Charest puisque vous venez de faire exactement ce que le parti libéral attend de vous : Décourager les étudiants afin de briser le mouvement de grève et ainsi leur enlever le seul moyen qu’ils ont de revendiquer cette juste cause ! Ce moyen que vous avez utilisé est un acte de mauvaise foi de votre part. Tout comme le gouvernement, vous n’essayez pas d’écouter tous ces jeunes qui sont dans la rue et qui veulent négocier. Cela me peine profondément car cela est très symptomatique de la société dans laquelle nous vivons. Les seules personnes qui ont le droit à de la considération sont ceux qui travaillent, qui paient des impôts. N’oubliez jamais que lorsque nous seront sur le marché du travail, nous déciderons collectivement, à notre tour, du sort du Québec !

Anne-Sophie Hamel, étudiante en technique de design intérieur (2e année)

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À tous nos étudiants,
Il importe que vous sachiez que nous sommes avec vous dans votre combat contre la hausse des frais de scolarité. Le syndicat des professeurs du CVM a d’ailleurs pris position en septembre 2011 contre la hausse des frais de scolarité. Comme vous, nous avons reçu la lettre de la direction qui nous informe des conséquences possibles d’une poursuite de la grève. Cette lettre n’est pas neutre. Sous le prétexte de donner de l’information, elle crée un climat d’inquiétude inutile qui peut influencer votre jugement dans l’exercice de vos droits. Nous vous invitons à ne pas vous laisser intimider par de tels propos.
Solidairement,
Denise Ally
Anne Bérubé
Karine Cliche
Luc Dansereau
Ginette Dubreuil
Martin Godon
Claudine Jouny
Audrey Lamy
Simon Lanctôt
Maryse Le Floc’h
Laurence Olivier
Marie-Ève Sabourin-Paquette
Marc Simard
Line Vaillancourt
Professeurs au Cégep du Vieux MontréalMembres du collectif « Profs contre la hausse »
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Au nom de l´assemblée générale du SPCVM (Syndicat des professeurs du Cégep du Vieux Montréal) nous souhaitons réitérer notre appui à la lutte étudiante contre la hausse des frais de scolarité. Nous demeurons persuadés qu´il s´agit là d´une lutte importante pour toute la société québécoise et nous sommes fiers de constater que les élèves du Vieux Montréal se tiennent debout.

Quel que soit le résultat du vote des assemblées générales de l´AGECVM dans les semaines qui viennent, nous désirons faire savoir aux élèves que nous respecterons leurs décisions et, le moment venu, travaillerons à trouver des solutions pour assumer nos responsabilités professionnelles.
Nous aborderons d´ailleurs ce point lors de l´Assemblée générale spéciale du 22 mars prochain.Nous croyons important de consulter nos membres pour convenir d´une position commune.
 En toute solidarité, L´exécutif du SPCVM
14 mars : Manifestation pour les étudiants du nord de Montréal
Coup d'éclat des étudiants qui montent sur le métropolitain


 12 mars : Nuit de création











 12 mars : marche silencieuse










7 mars 2012: Manifestation devant les bureaux de la CREPUQ



















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5 mars 2012: Première AG de reconduction du CVM








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Jeunesse d'aujourd'hui, diverses manifestations des dernières semaines sous l'oeil et l'objectif de manifestants



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Manif du 23 Février 2012 - Jour 7 de la GGI du CVM








Ces images ont été prise lors de la manifestation du 23 février 2012. Le nombre de manifestant-e-s s'élevait à 15 000.


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Cette vidéo s'interroge sur le rôle des écoles secondaires dans le débat des hausses des frais de scolarité. Avec des témoignages d'étudiant-e-s qui ont vécu la grève de 2005 au secondaire, on constate que le débat va au-delà des universités et des cégeps.

1 commentaire:

  1. Ce serait bien de mettre les activités du calendrier en ordre chronologique

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